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Passeport phytosanitaire : Pour toutes les boutures, graines, jeunes plantes et arbres.

Passeport phytosanitaire : de la théorie à la pratique

Depuis la fin décembre 2019, toutes les boutures, graines, jeunes plants et arbres doivent être munis d’un passeport phytosanitaire. Obligatoire. Nous expliquons comment mettre en pratique le passeport phytosanitaire. Vous trouverez ci-dessous deux exemples de ce à quoi peut ressembler un tel passeport phytosanitaire.

Plantenpaspoort label gemaakt door Codipack Group aangebracht op product.

Comment allez-vous appliquer ce nouveau passeport phytosanitaire à vos plantes ?

Il n’est pas nécessaire que ce soit si gênant. Nous pouvons vous rassurer tout de suite : il y a toujours une solution adaptée pour appliquer le nouveau passeport phytosanitaire. Quels que soient vos processus ou votre mode de fonctionnement.

La solution se compose de deux parties : le matériel et le logiciel

  1. Obtenez les informations sur vos plantes (pot/feuille/ plateau). Appliquez-le, alors. Le matériel de l’installation.
  2. Déterminez ce que doivent être ces informations. Définir le contenu. Le côté logiciel de l’histoire.

Hardware : application du nouveau passeport phytosanitaire

Il existe différentes technologies pour cela.

  1. Imprimez des cartes en carton pointu et mettez-les dans le pot de la plante.
  2. Imprimez une étiquette que vous appliquerez manuellement sur le pot. Cela peut être fait avec une imprimante industrielle.
  3. Imprimez une étiquette que vous apposez automatiquement sur le bocal. Ceci avec une machine à étiqueter.
  4. Imprimez le code sur la feuille.
  5. Imprimez le code directement sur le pot ou le plateau. Avec un jet d’encre, par exemple. Un petit caractère convient pour l’impression directe sur le pot et le plateau. Solution intermédiaire : un gros caractère avec lequel vous imprimez les étiquettes ou les cartes, que vous glissez ensuite dans la fente du plateau.
Plantenpotten worden gecodeerd, door een inkjet van Codipack, met een plantenpaspoort

Vendez-vous par plateau ? Il suffit alors de mettre un code sur chaque plateau. Vendez-vous les plantes individuellement ? Ensuite, vous devez fournir le nouveau passeport phytosanitaire pour chaque pot séparément.

Vous décidez dans quelle mesure vous voulez automatiser ce processus. Vos employés peuvent coller les étiquettes manuellement. Vous pouvez également opter pour une ligne de codage entièrement automatisée pour accélérer le processus.

Logiciels : le contenu du nouveau passeport phytosanitaire

Vous avez maintenant une idée de la façon dont le code s’y retrouve. Mais comment pouvez-vous fixer ce qui va arriver ? Le terrain sur le nouveau passeport phytosanitaire est bien sûr toujours le même. Mais le nom botanique diffère d’une plante à l’autre.

Nous vous aiderons aussi dans ce domaine. En plus du matériel approprié, nous fournissons également des logiciels faciles à utiliser. Via votre ordinateur portable ou un écran tactile, vous indiquez les plantes que vous souhaitez encoder. Et le contenu. C’est ainsi que l’on met en place le bon contenu pour le matériel.

S’agit-il d’une autre plante ? Ensuite, vous arrêtez le processus, vous sélectionnez une nouvelle espèce de plante et vous recommencez.

 

Une solution globale adaptée à vos besoins

Chez Codipack, nous nous occupons de la solution globale. Le bon matériel et les bons logiciels. Adapté à votre façon de travailler et à votre budget. Contactez-nous dès aujourd’hui. Nous passerons ensuite pour examiner vos processus. Et sur cette base, proposer la meilleure solution pour le nouveau passeport phytosanitaire.

Toujours pas à la hauteur de la théorie ? Vous trouverez la publication officielle sur le site de l’Union européenne. Ou lire la version abrégée en langue humaine.

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